La France a perdu pied au Sahel et elle essaie d’utiliser les instruments politiques, notamment les médias pour inverser la tendance. C’est ainsi qu’elle a lancé une vaste campagne de communication pour essayer de démontrer que l’Afrique a besoin d’elle.
Si aujourd’hui, les médias français se permettent de traiter les médias africains panafricanistes qui soutiennent les régimes de la transition des États du sahel ; il faut tout de suite comprendre, que la France à des cailloux dans les bottes.
Même si l’Afrique pendant depuis longtemps s’est laissée berner par de fausses informations des médias français, grâce ces nouveaux médias panafricanistes, cette pilule ne passe plus.
La France se sent mal parce que ces médias en Afrique , grâce à leur travail remarquable, ont déjoué plusieurs de ses plans et complots de déstabilisation.
Les médias français sont en diversion, parce que ces médias panafricains ont opté pour une nouvelle façon de communiquer, qui permet aujourd’hui de sauver des milliers de vie, à travers la communication politique, de défense et de dénonciation.
Les médias Français comme RFI, France 24, Jeune Afrique, Le monde, Tv5 Monde, etc…, pour ce citer que ceux là, ne sont que des médias toxiques. Ils ont des lignes éditorialistes alignées sur la logique politique française. Ils entretiennent également le terrorisme en Afrique.
Par ailleurs, la prolifération des informations sur des médias Africains, particulièrement panafricanistes, contribuent beaucoup à éclairer l’opinion sur les informations données par les instruments de communication de la France qui ne sont autre que de la manipulation.
Les peuples Africains doivent mettre fin à la propagande française sur son continent. On a vu comment en 2011, les médias Français traitaient Mouammar Kadhafi et tout le dossier libyen sur leurs plateaux. Ils n’ont jamais incriminé Sarkozy ni l’OTAN. Outre le cas de Lybie, l’on a également vu comment les médias Français couvraient le séisme au Maroc.
C’est le lieu de tirer chapeau a tous ces médias Africains et tous ces médias panafricanistes de continuer dans ce dynamisme, parce que l’Afrique a besoin de l’information vraie, conforme à ses réalités.
Jacques MALOU