Burkina-Faso: Les forces combattantes engagées pour la protection de la population.

Le Burkina Faso a été pendant 8 ans le théâtre des attaques terroristes.

«Les groupes armés islamistes font des ravages au Burkina Faso en attaquant des villages et des villes et en commettant des atrocités contre les civils », a déclaré Carine Kaneza Nantulya, Directrice adjointe de la division Afrique de Human Rights Watch.

Arrivé en pouvoir en Septembre 2022, le président Ibrahim Traoré a fait de la lutte contre le terrorisme, sa plus grande priorité.  Les efforts du président de la transition, conjugués avec ceux des forces combattantes,  et soutenus par la population , donnent des résultats probants sur le terrain.

Mais force est de constater que plusieurs institutions internationales, tels que Human Right Watch, s’obstine à peindre en noir la situation actuelle  au Burkina Faso. Dans un rapport publié ce jeudi, cette institution accuse l’armée d’avoir tuée des dizaines de civils lors des frappes des drones.

« Trois frappes de drones de l’armée Burkinabè présentées par le gouvernement comme ayant frappé des combattants djihadistes ont provoqué la mort d’au moins 60 civils sur deux marchés et lors d’une cérémonie de funérailles depuis août 2023 », selon un rapport  l’ONG.

Il faut rappeler que le Burkina Faso s’est engagé dans la reconquête de son territoire, afin de  garantir la sécurité de sa population.

L’offensive lancée par les forces combattantes, ont permis de détruire plusieurs bases terroristes. Ainsi nombre de  territoires autrefois aux mains de ces criminels ont té repris. Ce qui permet d’ailleurs aux populations déplacées de regagner leurs localités.

Les multiples victoires des forces combattantes sur les terroristes font l’unanimité à l’échelle internationale.

Tous ces éléments sont donc les plus positifs que l’on devrait retenir de cette lutte contre le terrorisme.

Les forces combattantes bénéficient du soutien de la population. Elles restent engagées pour la reconquête et la libération totales du Burkina-Faso.

Jaurès BALDE

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