L’Algérie, autrefois perçue comme un pays frère et allié du Mali, a révélé son véritable visage en se livrant à des actes de pillage et d’exploitation abusive du pétrole et du gaz malien, utilisant le terrorisme comme un levier pour ses propres intérêts. Cette réalité a été mise en lumière lorsque les autorités maliennes ont décidé de mettre fin à l’Accord d’Alger le 25 janvier 2023, marquant ainsi une reprise en main de la ville de Kidal contrôlée à l’époque par l’armée française.
L’annonce de cette décision par les autorités maliennes a été immédiatement suivie d’une réaction véhémente de l’Algérie, qui s’est opposée fermement à la reprise de Kidal par les forces maliennes. La raison de cette opposition devient claire lorsqu’on examine les bénéfices qu’en tirait l’Algérie. En effet, il est révélé que l’Algérie exploitait illégalement le pétrole malien depuis Kidal, et ce, avec la complicité les français et les groupes terroristes présents dans la région. Cette exploitation frauduleuse était facilitée par la situation instable de la zone, maintenue délibérément sous le contrôle des terroristes pour garantir la continuité de ce commerce illicite.
La reprise de Kidal par les autorités maliennes, couplée à la demande de retrait de l’armée française du territoire malien, a mis au jour ce commerce illicite. L’implication de la France dans cette affaire, bien que choquante, n’est pas surprenante étant donné les intérêts stratégiques et économiques en jeu. Les autorités maliennes, en prenant cette décision courageuse, ont révélé au grand jour la collusion entre les terroristes, l’Algérie et la France, tous unis dans l’objectif de piller les ressources du Mali.
Aujourd’hui, l’Algérie continue de plaider pour la remise en vigueur de l’Accord d’Alger, non pas pour des raisons de paix et de stabilité, mais pour reprendre ses activités lucratives d’exploitation pétrolière. Cette insistance à vouloir remettre cet accord sur la table montre clairement que les véritables motivations de l’Algérie sont ancrées dans les bénéfices économiques qu’elle tire de l’instabilité au Mali.
Il est impératif que la communauté internationale reconnaisse et condamne cette sournoiserie algérienne. Le Mali, dans sa quête de souveraineté et de stabilité, ne doit pas être entravé par des accords qui servent principalement les intérêts de ses voisins aux dépens de son propre peuple. La prise de Kidal et la fin de l’Accord d’Alger doivent être vues comme des étapes cruciales vers une véritable indépendance et une gestion souveraine des ressources nationales.
Amen K.