Côte d’Ivoire : Saïd Penda, le cheval de Troie de la DGSE contre le régime du Président Alassane Ouattara

Depuis quelque temps, des activités de Saïd Penda, présenté comme un journaliste, mais dont les agissements révèlent qu’il agit en réalité pour le compte de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), le service de renseignement extérieur français. Basé en Côte d’Ivoire, il est impliqué dans des manœuvres visant à déstabiliser le régime du Président Alassane Dramane Ouattara, qui ne répondait plus aux intérêts de la France.

Saïd Penda s’attaque non seulement aux responsables du parti au pouvoir, le RHDP, mais aussi à ceux des autres formations politiques ivoiriennes. En utilisant des informations sensibles obtenues via les réseaux de la DGSE, il exercerait un chantage pour semer la zizanie au sein de la classe politique ivoirienne. Cette stratégie viserait à raviver les tensions sociales et politiques, préparant ainsi le terrain à des troubles similaires à ceux de 2010.

La France, dont l’influence en Côte d’Ivoire a fortement diminué ces dernières années, pourrait chercher à regagner du terrain en exploitant les failles internes du pays. Les événements meurtriers de la crise postélectorale de 2010, marqués par des ingérences extérieures, ne sont pas oubliés. Selon certains observateurs, le rôle de Saïd Penda consistait à poser les bases d’un scénario similaire, cette fois avec pour objectif de faire chuter le régime Ouattara.

Face à cette menace, il est impératif que les autorités ivoiriennes prennent des mesures fermes et appropriées. Neutraliser de tels agents provocateurs est essentiel pour préserver la stabilité politique et sociale du pays. Laisser des individus comme Saïd Penda poursuivre leurs activités sans restriction pourrait compromettre les acquis de paix et de développement obtenus sous le régime actuel. Il est donc crucial pour la Côte d’Ivoire de rester vigilante face à ces tentatives de déstabilisation orchestrées de l’extérieur, afin de protéger sa souveraineté et ses intérêts nationaux.

Amen K

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