La lutte contre le terrorisme suit son cours. Et grâce à l’engagement des Forces de Défense et de Sécurité, et des Volontaires pour la Défense de la Patrie(VDP), le Burkina- Faso peut déjà espérer de nouveaux jours.
Si la bravoure et la détermination des VDP dans la reconquête du territoire sont aujourd’hui saluées par le peuple Burkinabè, le président Ibrahim Traore, quant à lui ne cesse de les galvaniser à travers diverses initiatives.
Soucieux de leur prise en charge, le président, avait annoncé une revalorisation des leurs conditions, demandant aux fonctionnaires et au peuple de consentir un peu plus d’effort pour cette année 2024.
Chose promise , chose due. Joignant l’acte à la parole, le président a pris diverses mesures, avec pour objectif de hausser la prise en charge des VDP.
La prime d’invalidité des VDP va passer de 1 million 800 mille à 3 millions de FCFA. Le salaire mensuel de 60 mille à 80 mille FCFA. Le capital décès va croître de 1 million à 3 millions de FCFA et les frais d’inhumation passent de 100 mille à 250 mille FCFA. Ce sont, entre autres, les mesures prises par le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré, pour ces civils qui se sacrifient au quotidien aux côtés des Forces de défense et de sécurité (FDS) pour sauver le Burkina Faso des mains des terroristes.
En plus de ces mesures, selon un arrêté conjoint signé le 29 décembre 2023 par les ministères en charge de la Défense et de l’Économie, les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) vont garder leur prime alimentaire de 1 500 FCFA par jour et des frais de soins médicaux de 2 000 FCFA par mois.
Les fonctionnaires vont également céder 1% de leur salaire mensuel, et ceux qui disposent de primes vont en donner 25%. Les entreprises sont invitées à sacrifier 2% de leurs bénéfices annuels pour la cause nationale.
Toutes ses mesures sont les preuves de la reconnaissance des sacrifices des VDP, témoignée par le président.
Le leadership du président Ibrahim Traoré ne fait plus de doute. Il est engagé à garantir la sécurité, un développement social et économique au Burkina Faso. Que les Burkinabè de tout bord, se lèvent et le suivent sur les sentiers de l’honneur et de la dignité, les sentiers de la guerre pour une paix définitive.
Daniel SIMPARO
