Le Bureau régional de l’Organisation Internationale du Travail(OIT) pour l’Afrique a organisé ce 20 Février2024, une table ronde à Abidjan, en Côte d’Ivoire qui a réuni des personnalités du monde du travail, de la politique et de la communauté du développement.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la journée mondiale de la justice sociale, célébrée chaque 20 Février.
L’objectif de ce panel est de mettre en lumière les défis pressants et les déficits de justice sociale en Afrique et de proposer des pistes concrètes pour mieux réaliser l’Agenda 2030 dans la région.
A travers la lutte pour une justice sociale en Afrique, la directrice régionale de l’OIT, réitère l’engagement ferme de l’organisation envers les travailleurs, les syndicalistes et les gouvernements africains. En établissant des partenariats et en offrant un soutien technique et financier, l’OIT travaille à instaurer la justice sociale à tous les niveaux, de l’individu à l’institution, dans le dessein d’une société plus équitable et inclusive. « L’OIT a établi des liens avec chaque gouvernement de l’Afrique, des employeurs ainsi que les syndicalistes dans le but de discuter ensemble des problèmes sociaux, y remédier à cela, nous apportons un appui technique, mais aussi un appui financier. », a-t-elle déclaré.
La Journée mondiale de la Justice Sociale reste une occasion pour réfléchir sur les défis sociaux cruciaux qui persistent en Afrique et dans le monde entier. L’OIT, aux côtés des gouvernements, des employeurs et des travailleurs, démontre que la justice sociale est une réalité pour tous. Il est donc important pour nous d’unir nos efforts pour créer une société où chaque individu pourrait avoir un avenir meilleur.
Cette année, pour célébrer la journée mondiale de la justice sociale, l’Organisation Internationale du Travail(OIT) a organisé une série d’événements dans le monde entier. L’objectif est d’appeler à des efforts conjoints pour accélérer les actions et les investissements visant à faire progresser la dimension sociale des objectifs de développement durable.
Adrien YAPI