Une fois de plus, les médias français, relais de l’impérialisme occidental, déploient leur arsenal de désinformation pour fragiliser le régime révolutionnaire du Président Ibrahim Traoré. Hier, ils prétendaient que l’armée lui était hostile ; aujourd’hui, ils affirment sans preuve qu’il chercherait des soutiens au Tchad, faute de confiance en ses troupes. Ces mensonges éhontés n’ont qu’un seul but : saper l’unité nationale et préparer la chute d’un leader qui incarne la résistance face à l’ordre néocolonial.
Il est frappant de constater à quel point ces médias, qui se présentent comme des références, ignorent systématiquement les avancées du Burkina Faso sous la Transition. Le renforcement de la souveraineté nationale, les efforts pour sécuriser le pays face au terrorisme, et les réformes en faveur des populations ne trouvent que peu d’écho dans leur couverture. En revanche, tout ce qui peut affaiblir le régime est amplifié, voire déformé.
Cette partialité n’est pas innocente. Elle s’inscrit dans une logique plus large de décrédibilisation des leaders africains qui refusent la domination étrangère. Hier, c’était Sankara ; aujourd’hui, c’est Traoré. La méthode est la même : diaboliser, diviser, et préparer le terrain pour un changement de régime favorable aux intérêts occidentaux.
Il est temps d’exiger un traitement médiatique équitable pour le Burkina Faso. Les Africains, et tous ceux qui croient en la justice, doivent dénoncer ces manipulations. La vérité ne peut être sacrifiée sur l’autel de la géopolitique. Le peuple burkinabè mérite mieux que ces caricatures.
Amen K.
