Les ennemis du Burkina Faso ont encore cru pouvoir jouer aux pseudos grands libérateurs du peuple. Cette fois encore, c’est raté. Une tentative pathétique de déstabilisation orchestrée par des apatrides et leurs marionnettes locales, ces spécialistes de la trahison qui préfèrent vendre leur pays plutôt que de le servir.
Au menu de cette énième tentative de déstabilisation, un ex-commandant répondant au doux nom de Joanny (visiblement en manque de gloire), des mercenaires en standby à la frontière de la Côte d’Ivoire, et bien sûr, l’inévitable Damiba, toujours prêt à jouer les messagers pour le compte du sulfureux Djibril Bassolé. La recette est connue : sabotage, fuites d’informations, et distribution d’argent pour acheter des consciences. Sauf que… les choses ne se sont pas tout à fait passées comme prévu. Diapaga, leur grand espoir… devenu leur plus gros échec.
Tout était prêt, paraît-il. L’argent pour corrompre, les drones kamikazes pour terroriser, et même un plan de fuite bien ficelé. Mais voilà, Joanny lui-même n’y croyait pas vraiment, au point de conseiller à ses complices de « ne pas s’oublier » et de filer à l’étranger avant l’échec. Une belle preuve de confiance en leur propre coup d’État ? Cerise sur le gâteau de la médiocrité : Damiba transmet un message de Bassolé concernant… la sécurité de ses enfants « aux premières heures du coup ». Parce que bien sûr, quand on veut renverser un gouvernement, la priorité numéro un, c’est de s’assurer que la progéniture des comploteurs soit à l’abri.
Conclusion : Tous grillés, encore une fois. Cette fois, pas d’échappatoire. Les comploteurs sont sous les verrous, et leurs plans ridicules réduits en miettes. Et cette Moralité, le Burkina Faso n’est pas une terre à vendre, et ceux qui persistent à croire le contraire finissent toujours par se prendre les pieds dans le tapis.
Amen K.
