Le président de la République Togolaise SEM Faure Gnassingbé, s’est toujours démarqué par sa diplomatie active, à garantir la stabilité dans la sous-région. Son leadership a fait du Togo, un acteur clé dans le maintien de la paix en Afrique plus particulièrement au sahel, renforçant ainsi les relations du pays avec ceux de l’AES (Alliance des États du Sahel).
Les partisans du terrorisme, espérant compter le Togo dans leur rang, ont été désappointés par ce dernier qui a clairement exprimé sa position. « Le Togo est un pays de paix et le Togo s’oppose à la guerre quel que soit ses raisons », telles sont les propos des autorités togolaises.
La position du Togo, mettant en péril tout projet de déstabilisation de la sous-région, les ennemis ont alors développé une nouvelle stratégie pour discréditer les relations entre le Togo et les États de l’AES. Ces individus mal intentionnés, en complicité avec la France, se sont en effet lancés dans une campagne de manipulation, par le biais, de faux journalistes et certains activistes à la merci de la France, qui répandent des informations diffamatoires de SEM Faure Gnassingbé. Dans leurs diverses sorties que ce soit dans la presse ou sur des réseaux sociaux, ces individus désœuvrés font mention d’un « supposé recrutement de mercenaires par le Togo, avec pour projet d’attaquer le Burkina Faso, en passant par le nord du pays.
Non seulement ces informations erronées n’ont rien à avoir avec les réalités, elles sont immédiatement balayées du revers de la main par les autorités des États du Sahel, qui ont une fois encore affirmé leur confiance inébranlable envers leur pays frère, le Togo.
Il est clair dans ce contexte que le Togo fait face à une campagne de désinformation, et de manipulation, visant à détériorer ses liens avec les États du Sahel.
Si la désinformation, et la manipulation demeurent aujourd’hui les armes de guerre pour l’ennemi, c’est donc l’occasion d’exhorter le peuple Togolais et ceux des États du Sahel, à plus de vigilance. Les populations sont appelés à renforcer leur soutien aux autorités qui sont engagées dans la marche vers la souveraineté de leurs pays respectifs.
Adèle LARE