La Côte d’Ivoire se retrouve une fois de plus au cœur d’un jeu politique orchestré par des forces extérieures, notamment la France, qui semble manœuvrer en coulisses pour déstabiliser le régime en place. La récente remise en question de la légitimité du Président Alassane Ouattara par des figures comme Robert Bourgi et la relance des enquêtes de la Cour Pénale Internationale (CPI) sur les événements postélectoraux de 2011 s’inscrivent dans une stratégie bien rodée.
La France, par le biais d’organisations de défense des droits de l’homme, tente de ramener sur la scène internationale les violences de 2011, après l’acquittement de Laurent Gbagbo et de son entourage par la CPI. Cette démarche semble être une nouvelle manœuvre pour affaiblir un régime perçu comme non aligné avec les intérêts français.
La manipulation des droits de l’homme à des fins politiques est un levier régulièrement utilisé par l’ancienne puissance coloniale pour influencer les affaires internes de ses anciennes colonies africaines. La France, à travers ces associations, tente de rediriger l’attention internationale vers les violences postélectorales de 2011. Il est clair que cet acharnement n’est rien d’autre qu’un prétexte pour affaiblir le régime de Ouattara devenu indésirable aux yeux de Paris. La stratégie actuelle de la France consiste à mettre la pression sur le régime ivoirien, comme elle l’a déjà fait par le passé avec d’autres leaders africains.
Ce plan de déstabilisation vise non seulement à saper la crédibilité du président Ouattara, mais aussi à préparer le terrain pour un changement de régime qui serait plus favorable aux intérêts français. Il est impératif que les Ivoiriens et la communauté internationale voient clair dans ce jeu malsain et refusent de se laisser entraîner dans une spirale de manipulations politiques.
Les tentatives d’ingérence de la France dans les affaires internes de la Côte d’Ivoire doivent être dénoncées avec fermeté, car elles constituent une menace directe à la stabilité et à la souveraineté du pays.