Burkina Faso : Médias français et terrorisme, une complicité médiatique inacceptable.

Depuis plusieurs années, il est devenu une habitude pour certains médias occidentaux, en particulier français, d’adopter une posture biaisée dans leur couverture des opérations de lutte contre le terrorisme, menées par les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) au Burkina Faso. Plutôt que de relayer de manière objective les efforts héroïques des forces combattantes pour protéger les populations, ces médias préfèrent minimiser leurs exploits et accorder une tribune aux groupes terroristes qui sèment la mort et la désolation.

Avec une irresponsabilité troublante, ces organes de propagande diffusent des récits qui semblent légitimer les actes barbares des criminels. En relayant leurs communiqués et en insistant sur les dommages causés à la population, sans condamner fermement les terroristes, ces médias contribuent à renforcer leur audace et à perpétuer un climat de peur et d’instabilité. Il est révoltant de constater qu’au lieu de soutenir les peuples victimes du terrorisme, ces médias instrumentalisent leur souffrance et passent sous silence les victoires des forces burkinabè, comme si l’éradication du terrorisme au Sahel allait à l’encontre de leurs intérêts.

Cette attitude n’est pas anodine. Elle s’inscrit dans une logique impérialiste où le néocolonialisme, à travers le contrôle de l’information, cherche à manipuler l’opinion publique et à maintenir une influence insidieuse sur les États africains en lutte pour leur souveraineté. Les véritables parrains du terrorisme ne sont autres que ceux qui, dans l’ombre, le financent et le soutiennent, pendant que leurs médias jouent le rôle de caisse de résonance en orientant le narratif à leur avantage.

Face à cette complicité médiatique, il est impératif que les peuples africains, en particulier le Burkina Faso, restent vigilants et dénoncent ces manœuvres malsaines. L’Afrique ne doit plus se laisser dicter son destin par des forces extérieures qui préfèrent voir le chaos régner plutôt que d’accepter l’émergence de nations souveraines et indépendantes.

Amen K.

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