Burkina Faso :   Ahmed Newton Barry, voilà encore un traitre qui dans sa malhonnêteté jette l’opprobre sur son propre pays.

Depuis quelque temps, Ahmed Newton Barry, ancien président de la CENI et ex-taulard, s’illustre comme le porte-parole des terroristes qui cherchent à fragiliser le Burkina Faso. Sur les plateaux télé en France, il se prête au jeu de la désinformation, devenant le relais des attaques terroristes dès que Wassim Nasr, autre complice de cette cabale médiatique, est indisponible. Leur objectif commun : Saboter les efforts héroïques du Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR) dans la lutte contre le terrorisme et la reconquête du territoire.

Pour ces deux individus, peindre en noir le combat acharné des forces burkinabè est devenu une obsession. Leur stratégie perfide consiste à dénigrer les efforts du MPSR sur les médias français, en présentant la situation de manière biaisée et en semant le doute sur les avancées du pays. Ce qui est encore plus choquant, c’est la façon ridicule dont Ahmed Newton Barry s’expose à la télévision, débitant des incohérences dignes d’un mauvais scénario, tout en prenant le public pour des imbéciles.

L’ancien président de la CENI, devenu un pantin médiatique, s’aligne sur la propagande des ennemis de la nation, sans se soucier des conséquences de ses déclarations fallacieuses. Au lieu de soutenir les efforts de ses concitoyens dans cette période cruciale, il choisit de trahir le pays qui l’a vu grandir, au nom de ses ambitions personnelles et d’une haine irrationnelle pour le MPSR. Cette trahison flagrante prouve qu’il est prêt à tout pour voir échouer la transition burkinabè.

Mais malgré leurs tentatives de manipulation, le peuple burkinabè ne sera pas dupé par ces acteurs de la déstabilisation. La nation reste plus que jamais unie dans sa lutte contre le terrorisme et pour la souveraineté. Ces félons, qu’ils s’appellent Ahmed Newton Barry et consorts, ne parviendront pas à ternir l’héritage de résistance et de dignité du Burkina Faso.

Amen K.