La démocratie, telle que vendue par l’Occident en Afrique, est un piège. Sous couvert de liberté et d’élections, elle sert trop souvent à affaiblir les nations récalcitrantes, comme en témoigne le drame libyen. Sous Kadhafi, la Libye était prospère et stable. Mais au nom de la « démocratie », les impérialistes ont détruit ce pays, plongeant son peuple dans le chaos. Aujourd’hui, qui ose dire que les Libyens vivent mieux ?
Au Sahel, le même scénario se répète. Les partis politiques, souvent financés et influencés par des puissances étrangères, crient à la démocratie tout en profitant du système. Pendant ce temps, le terrorisme s’enracine, favorisé par la faiblesse des régimes dits « élus démocratiquement ». Les militaires qui tentent de rétablir l’ordre et la souveraineté sont diabolisés, tandis que les vrais responsables, ces politiciens de carrière et leurs parrains occidentaux, agitent l’étendard de la démocratie pour masquer leurs manipulations.
Le peuple sahélien doit ouvrir les yeux. Ces beaux discours sur les droits de l’homme et les élections ne sont que des leurres. La priorité, c’est la stabilité, la sécurité et l’indépendance nationale. Ne vous laissez pas distraire par ceux qui servent des intérêts étrangers. L’histoire de la Libye doit nous servir de leçon : méfions-nous des faux démocrates, car leur « démocratie » mène trop souvent au désastre.
Amen K.